Témoignages AUTHENTIQUES extrait du Télé Poche de Mars 1993
"Je voudrais m'associer à vos lecteurs pour transmettre à la famille de Patrick Roy mes sincères condoléances. C'était un jeune homme charmant, j'ai apprécié son professionnalisme sans fausse note, qui attirait la sympathie. J'aurais aimé avoir un fils comme lui" Lucienne, d'Houilles (78)
"Patrick Roy était un garçon adorable de gentillesse. Il était aimé de son public car il savait lui parler avec simplicité, respect et bonne humeur. Sa disparition est horrible et affreusement injuste" Bruno, de Bouchemaine (49)
"Je l'avais croisé 2 ou 3 fois et c'était toujours avec la même gentillesse qu'il me parlait; Patrick, c'était des immenses éclats de rire et je suis certaine que là où il est, il sait que nous l'aimerons toujours. Et puis là-haut, il y a sûrement un ange avec qui il pourra blaguer comme il aimait bien le faire" Valérie, d'Houilles (78)
"Patrick, ta bonne humeur, ton sourire vont bien nous manquer, tu faisais partie de la famille. On te regardait tous les jours et il nous était tellement agréable d'entendre ton rire, c'était du soleil qui entrait dans la maison" Myriam, de Brest (29)
"Nous attendions tous, avec impatience, ton retour sur TF1 et RMC, mais le destin en a décidé autrement. Tu faisias partie de la famille et nous n'oublierons pas ton sourire, ni ton rire si communicatif. Toi qui as eu un immense courage lors de ta maladie, nous te disons Adieu Patrick, nous sommes de tout coeur avec tes parents" Madeleine et toute sa famille, de Châteauroux (36)
"Mon ami a disparu. Sur RMC, avec "Vanille-Fraise", il m'a tenu compagnie pendant de longues heures lorsque j'étais adolescent. Il m'a fait connaître tellement de chansons que celles-ci auront désormais un goût amer. Il me semble que c'est une partie de moi-même qui a disparu. Patrick, je te donne rendez-vous au paradis où je sais que tu feras tout pour qu'il soit encore meilleur" Fabrice, de Courpière (63)
"J'ai le coeur triste. Je savais Patrick malade et j'ai eu, à plusieurs reprises, envie de lui écrire pour le soutenir afin de lui dire combien nous l'aimons et que nous pensons très souvent à lui. Je ne l'ai pas fait aujourd'hui et je le regrette. Ce soir, je pleure et je voudrais dire à sa famille tout mon chagrin et que je partage sa douleur" Fernanda, de Trappes (78)
"Je veux qu'on se souvienne de toi, l'homme de télé, toi, l'homme de radio, celui qui nous charmait par son sourire et sa voix agréable. toi, l'homme simple au grand coeur, qui, le temps d'une émission, nous faisait oublier nos malheurs" Christelle, de Joué-les-Tours (37)
"Nous avons participé aux jeux de Patrick Roy. Nous en gardons un merveilleux souvenir, comme si c'était un membre de notre famille qui était parti. Pourquoi ne pas lui rendre un dernier hommage, peut-être en organisant une journée "Vaincre le cancer" du genre "Téléthon" afin d'aider l'ARC qui lutte contre cette terrible maladie ?" Une famille de fidèles participants, d'Etampes (91)
"Patrick, c'était un enchantement de t'écouter sur les ondes de RMC et ce fut un ravissement de te voir sur TF1. Tu avais beaucoup d'humour et surtout beaucoup de tendresse pour le public qui te le rendait bien. Le Bon Dieu a dû te recevoir comme un homme de coeur" Irène, de Beaujeu (69)
"Des millions de téléspectateurs pleurent aujourd'hui Patrick Roy. Et je crois que tous ceux qui l'aimaient doivent avoir le coeur aussi triste que le mien, à la pensée que nous ne reverrons jamais son sourire ni ses yeux pétillants de gaieté. Adieu, Patrick, nous ne t'oublierons pas" Adeline, de Nay (64)
"Je viens de recevoir votre numéro avec le sourire de Patrick roy en couverture. Merci à Télé Poche pour l'hommage chaleureux rendu à Patrick, l'ami au grand coeur. les témoignages de ses amis m'ont beaucoup émue" Isabelle, de Bordeaux (33)
"Dans notre maison, vous étiez rentré sans façons. Par la radio, par la télé, vous avez amusé nos journées. De vos rires joyeux, votre gentillesse, nous nous rappellerons sans cesse. par votre présence au poste ou à l'écran, dans notre famille, vous étiez toujours présent. Aujourd'hui, nous vous pleurons, comme si vous étiez notre garçon" Annie, de Ramous (64)
"Notre devoir, à nous qui aimions Patrick, est de ne pas l'oublier" Jean-Michel, de Limoges (87)